. Tout mettre sur papier… .

Garbo déboula, rougissante, dans la salle d'écriture, vide. Elle était encore toute chose de ce qui s'était passé avec Sadie dans son dortoir. Elle ne savait pas comment aborder le sujet. Elle se demandait même si elle comptait lui en reparler.
Tant de questions fusaient dans sa tête.. "Qu'est-ce qu'elle en pense ?" "J'dois lui en parler ?" "Pourquoi on a fait ça ?" "Qu'est-ce qui se passera ensuite, entre nous ?…" Pour tout dire, c'était cette dernière question qui l'intriguait. Serait-elle amie avec Sadie ? Ou amante… ?
Elle frissonna. Elle n'avait pas de pull, cette salle était un peu froide à son goût.

Elle n'aurait sû dire pourquoi elle l'avait emmené avec elle ici, mais elle avait, dans sa besace, un carnet qu'elle tenait depuis sa sortie de prison. Ça pouvait paraître très cucul, mais elle ne voulait parler à personne de ce qui se passait à l'intérier de sa boîte crânienne. Elle ne trouvait pas les mots. Sur papier, ça passait tout seul.

Elle sortit un stylo et, roulée en boule dans un fauteuil, commença à écrire.

Citation :: 12 mars.

Première journée dans nouvelle prison. Graaande joie chez moi-même. La première personne que j'ai rencontré fut un pion assez mignon, qui ne voulait pas que je me frappe. Pour tout dire, il me parlait un peu comme s'il me prenait pour une schizo. C'était très étrange, il parlait clairement, et articulait tout. Breff.
Je suis arrivée dans mon dortoir, et la deuxième personne que j'ai rencontré n'était pas ma colocataire, comme je l'imaginais, mais une junkie qui s'appelle Sadie. Au début, elle ne m'avait pas remarqué, elle était défoncée et en plein bad trip. La première chose que je pensai en la voyant fut que je pourrais continuer mon business, même ici.
Quand elle me remarqua enfin, elle m'agressa verbalement, style "Comment tu m'regardes toi ?!". Très peu plaisant comme histoire.
Breff. À la fin, je lui ai proposé de la drogue. Elle m'a dit que je la truquais, qu'elle faisait pas confiance. J'ai essayé de lui prouver qu'elle avait tort en me sniffant une ligne de coke et en avalant deux cachets de LSD.
Un peu trop, non ? Je pense aussi /
Breff, c'était à mon tour d'être en bad trip. J'ai "dormi" à moitié, et elle aussi. Quand je me suis réveillée, j'ai vu qu'il me manquait deux sachets de poudre et deux-trois champis. J'ai sû immédiatement qu'elle les avait, et je savais aussi qu'elle les planquait dans son soutif. Du coup, pensant qu'elle dormait, j'ai récupéré mon dû.
Erreur. (?) Elle ne dormait pas, et croyait que j'étais une perverse sexuelle trafiqueuse de drogue sociopathe (le tout à la fois, bien sûr). Mais à la fin, il s'est passé comme un genre de "truc" entre elle et moi et, patatrac, nous nous sommes retrouvées à faire l'amour.
C'était très rapide, et j'ai vite regretté ça.
J'ai peur qu'elle me regarde différemment après ça.
J'ai peur de LA regarder différemment..
Tout est si confus dans ma tête. Je ne sais plus quoi penser.
Dans ce cas, pourquoi tout mettre sur papier ? Ça n'a pas de sens…
JE n'ai pas de sens…

Et elle s'arrêta là. Elle n'avait plus d'inspiration, les mots lui manquaient, butaient dans son esprit.

Garbo reboucha son stylo, bourra son carnet dans sa besace, et regarda d'un air absent le mur de pierres grises, froid et terne.

* Je suis stupide. Plus stupide que stupide. Les journaux intimes c'est bon pour les couches-culottes merde ! *

HJ // Quartier libre, n'importe qui peut répondre/ \\ HJ

Pensionnaire Nombre de messages : 95 Age : 33 Date d'inscription : 22/06/2007

Jésus rentra dans la salle d'écriture,éxceptionnellement Jésus avait opter pour son costard cravate noir(Réserver pour les deuils ou endant le boulot).Quand il entra il fut surpris de voir une jeune fille fixait fixement le mur.

*J'ai pas fais de trou dans ce mur!*

Dit une voix dans l'un des coins de son esprit.La jeune fille tremblait de froid et tenait manifestement un journal intime.

*Encore!*

Persifla la voix dans son esprit qui fut vite chasser.S'approchant de la fille il lui jetat sa veste sur les épaules et dit :

"Tu vas crever de froid si tu restes comme ça!Enfin si c'est que tu cherches j'en ai rien a foutre!"

Un garçon. Tout blanc, tout noir. Pour ce dont Garbo en voyait. Elle était un peu sortie de sa léthargie et tourna la tête vers lui. Sans rien dire, il lui mit sa veste sur ses épaules. La voix cassée, elle lui murmura un faible "Merci."
Impossible de savoir s'il avait tout saisi ou s'il la prenait pour une folle. Elle se sentait tellement mal qu'elle s'en fichait, qu'elle se fichait de tout.
Je crois qu'il y a un mot pour ça.. Ah. Oui. La déprime. Elle rassembla tout de même assez de forces pour lui demander d'une voix faiblarde :

- Si tu t'en fiches, pourquoi me mets-tu ta veste sur mes épaules ?

Elle détourna de nouveau le regard de Son mur. "Son" mur? Non mais. Elle pétait des plombs là. 'Fallait arrêter. OK, elle avait couchée avec Sadie, elle l'admettait. Était-ce une raison pour se mettre dans un tel état ? Voulait-elle avoir des amis, ou des amants, ici ? Elle n'aurait su le dire……

Pensionnaire Nombre de messages : 95 Age : 33 Date d'inscription : 22/06/2007

Sourire désabusé.

"Parce que je suis comme Hitler je n'aime pas voir la souffrance!Saviez d'ailleur qu'il étais végétarien et qu'il a créer la SPA en Alemagne!Cependant si vous voulez mourir j'ai des manières plus rapide de rejoindre Dieu!"

Tire un peu la tronche parce que elle ne semble pas l'avoir écouter.

- Hum. Merci, sans façon. J'ai beau être démoralisée, c'est pas vos menaces à trois cacahuètes (et d'mies ) qui vont me faire peur. Carpe diem quam minimum credula postero vous connaissez ? Et oui, la bouseuse-catin-folle (ou tout ce que vous voulez) a un cerveau et est instruite. Ouais ouais on dirait pas mais c'est vrai. Triste vérité, n'est-ce point ?

Non mais, il valait pas un pet de lapin congelé, ce mec-là, et il pétait plus haut qu'son cul. 'Ridicule, voilà ce qu'en pensait Garbo. Ri-di-cu-leuh.

[HJ :: Morf. Pas inspirée désolée.]

Pensionnaire Nombre de messages : 50 Age : 30 Date d'inscription : 21/06/2007

Sadie avait pas trop apprécié le coup "je te beugle dans les oreilles quand tu parles" et le coup-bis de "Je pars en rapidos parce que tu comprends je suis troublée je suis une hétéro blablabla...". N'ayant donc pas franchement apprécié, elle avait enfilé son pantalon, n'avait pas pris la peine de mettre quelque chose par dessus son tee-shirt (en dessous d'ailleurs, ses maigres provisions étaient dans ses poches), et avait enfilé tant bien que mal ses doc's (ya plus pratique comme chaussures à enfiler en quatrième vitesse), puis avait suivit Garbo. En même temps elle était facile à repéré.
Se fut donc avec sérénité qu'elle s'engouffra dans la salle d'écriture. Son regard se posa sur sa partenaire d'un coup, puis sur l'albinos à côté d'elle. Et, étrangement, la sérénité qui lui emplissait l'âme se transforma en glace pilée. Son albinos, l'albinos, le lapin lobotomisé, l'espèce de schizophrène qui l'avait presque tuée et pratiquement forcé à LE tuer. Sadie passa machinalement sa main au cou, puis afficha un sourire glacial.

"Garbo, ma chérie, tu devrais pas t'enfuir comme ça. Je vais pas te harceler si c'est ça qui te fais si peur, toi et moi s'était qu'un petit coup comme ça. Un très bon petit coup je te l'accorde MAIIIS...Voilà."

Sadie s'était assise sur la table ou son amante-express avait écrit quelques minutes auparavant, et regarda Jésus-Judas avec un air de défi. (non, pas un air latino, désolé Lorie)

"Bonjour Lapinet, ça faisait longtemps. Ta chérie et moi on a discuté et je l'ai mise en garde tu me touche elle crève. Et tu touche pas Garbouille -tu permet que je t'appelle comme ça Garbounette ? Non, je rigole flippe pas.- parce que je viens de m'envoyer en l'air avec elle et que c'est ma coupine. Excusez moi je divague j'ai...un peu fumé..."

En effet, le petit sourire glacial de la jeune fille était partit en noisette et sa voix aussi. Pour l'effet "je suis froide et hautaine baise mes pieds" s'était foiré.

Pensionnaire Nombre de messages : 95 Age : 33 Date d'inscription : 22/06/2007

Jésus regardat d'un air surpris Sadie déboulait et commençais a se lancher dans un one man show.Il avait juste compris qu'elle avait menacer Carmen et qu'elle avait coucher avec la fille a coté de lui.Sa fureur du fais qu'elle est osez menacer sa Carmen apparue sous la forme de son couteau dans la main.S'approchant de Sadie il lui filat une claque sonore.

Garbo n'avait pas tout suivi à l'histoier mais, grosso modo, Sadie avait déboulé dans la pièce, avait débité une longue tirade, désormais elle l'appelait Gabouille ou Garbounette, et le blanc-noir voulait la frapper (Sadie, pas Garbo. Quoique…?). Même si elle ne fut pas assez rapide et que Jésus-Judas gifla violemment Sadie, elle essaya de raisonner les deux béligérants avant que tout ça ne dégénère encore plus (par des phrases style "Ça vous amènera à rien.." "Il faut pas faire ça.." "Arrêtez." (ton très convaincant pour la dernière phrase)). Jésus-Judas persistait à vouloir attaquer Sadie, parce qu'apparemment, cette dernière aurait "menacé" la copine de Jésus-Judas.
Bigre, elle se serait crue dans les Feux d'l'Amour. (Une série très cucul-la-praline jouée par des acteurs désopilants de nazitude.)

Sadie était défoncée, c'était très drôle à voir. En arrivant, elle avait essayé de faire genre une réplique cinglante et "vaschierdesbulles", mais elle se trompait parfois et se cramponnait au dossier du fauteuil de Garbo.

Donc oui, Jésus-Judas persistait à vouloir attaquer Sadie. Garbo, toujours dans son fauteuil, craqua tous les doigts de ses mains, sa tête, et son dos, puis se leva. Elle se mit face à Jésus-Judas, puis lui dit très calmement en lui tendant sa veste :

- Tiens chéri, ta veste, c'est toi qui va prendre froid si tu continues à faire chier ma copine, parce que si tu continues à te la péter avec ton p'tit canif de mes deux, j'ai deux options : a) je sors ma lame-papillon qui fait pas du bien, et je coupe tous tes dreads un à un (mouahahah), après quoi je te plante mon couteau dans l'cœur et j'le tourne, comme ça tu souffriras bien ; ou b) je te jette par la fenêtre. Dans les deux cas, t'es pouned ET T'AS FROID (il paraît qu'on est glacé quand on crève et 'fait pas chaud dehors). Alors je ne peux que te conseiller de remballer tes grands airs et de te barrer. À toi de choisir. Au fait, merci pour ta veste!

Après quoi elle lui fit un sourire enjoué et attendit sa réponse. Pour passer le temps, elle se tourna vers Sadie et lui demanda, presque étonnée :

- Dis… C'est vrai que je suis un bon coup ?

^:/

Pensionnaire Nombre de messages : 50 Age : 30 Date d'inscription : 21/06/2007

Sadie, trop shootée pour dire quoi que se soit avant la gifle cinglante, (Okay, s'était pas de sa faute si Garbo était partit sans son bédo !) ne put s'empêcher de pousser un cri excédé.

"Mais putain t'as été frustré dans ton enfance petit homo qui s'assume pas ?! Tu vas arrêter de taper les nanas non d'une pute ?!"

Elle sauta (euh, s'écrasa à moitié sur le sol pour être plus exact) de sa table (non pas elle sauta la table s'ils vous plaît) et s'avança d'un pas légèrement chaloupé vers le fautif. Shootée, mais pas incapable. Elle l'empoigna par les cheveux, et lui mordit le cou avec violence. Elle ne rata pas sa cible, elle fit même de magnifiques marques dans la chair du jeune homme. Un peu de sang, même, sur une des traces. Pendant se temps, Garbo tiradait une truc super classe dont Sadie ne captait que deux mots et quart sur vingt, mais s'était pas grave parce que s'était en sa faveur.

"Tu me touche Garbo et moi on te viole, pigé ?"Dit-elle d'un ton menaçant. "Et oui ma chérie, t'es un super coup au pieux. Faudra qu'on se refasse ça un jour, pour le fun."Ajouta t-elle sur le ton de la conversation.

Pensionnaire Nombre de messages : 95 Age : 33 Date d'inscription : 22/06/2007

Bon les statistique étais en faveur des deux filles,il aurait facilement régler la situation si il n'avait pas ranger les présents de ses protecteurs.La fille a qui il avait préter la veste lui rendit (C'est trops d'honneur!)et Sadie lui tirat les cheveux et le mordit a la gorge,sa saignait un peu mais la blessure semblait superficiel.Apparament Sadie n'avait pas retenue la leçons et Judas lui plantat son couteau dans la cuisse.Et reculat de quelques pas et dit a l'autre fille:

"Tu voulais me jeter dehors n'est ce pas?"

Il n'attendit pas la réponse et s'approche de la fille la saisit par le col et fais un effort pour la lancer hors de son passage avant de sauter par la fenêtre.Leur laissant le soin de nettoyer derrières lui.

Pensionnaire Nombre de messages : 50 Age : 30 Date d'inscription : 21/06/2007

Sadie poussa un juron sonore quand le couteau entama sa chair. Mais l'albinos était aussi mal voyant apparemment, car il n'avait que blesser superficiellement la jeune fille. Ce qui n'empêchait pas de faire extrêmement mal. Des larmes brûlaient les yeux de Sadie, brouillaient sa vision.

"Fils de p...!!"

Sans réfléchir, elle sortit sa seringue (vide) qui se trouvait bien sagement dans sa poche. La jeune droguée retira le cache de protection qui se trouvait sur l'aiguille, fine et pointue (normal pour une aiguille me direz vous), et la lança avec une violence plutôt surprenante par rapport à sa morphologie. Le dard se logea aussi profondément que possible dans l'épaule de Jésus-Judas. Sans prendre le temps de regarder le jeune homme, qui devait sans doutes souffrir, parce qu'elle se droguait et qu'elle savait à quel point s'était douloureux. Non, son attention s'était reporté sur sa seule amie pour l'instant, Garbo, qui semblait sonnée, après que l'espèce d'enflure l'ai balancé contre le mur.

"Garbo ça va ?"Marmonna t-elle d'une voix quelque peu pâteuse.

Puis elle tourna la tête vers l'albinos, qui était en train de se faire la malle.

"Espèce d'enfoiré !! Je te préviens ta copine va souffrir, et ça sera de TA FAUTE !!!"

" Tu voulais me jeter dehors, n'est-ce pas ? "

Trop dommage (trop pas.), Garbo n'eut pas le temps d'assener à l'"albinos" une de ses fameuses répliques cinglantes, puisque l'infortuné la prit et la jeta sauvagement contre le mur en vis-à-vis.
Le choc fut violent, et Garbo resta inconsciente une bonne dizaine de minutes.

Elle voyait blanc. Entendait un bourdonnement permanent.
Avant de tomber, juste après le choc, elle avait entendu Sadie hurler un juron, ainsi qu'un bruit de chair transpercée.

Les larmes perlèrent presque instantanément dans ses yeux émeraude. Cette ordure avait fait du mal à son amie. À la seule personne qui la considérait "normalement" depuis son arrivée (bon… la seule chose qu'elles aient vraiment faites, c'était au lit, mais chut/)

Juste avant de sombrer dans l'inconscience, Garbo voulait également aller étrangler ce fils de catin qu'était l'albinos. Elle imaginait assez bien la scène.
Elle vacillant et se tenant aux meubles, se forçant de prendre l'air menaçant "toutes griffes dehors".. Telle le chaton qui vient de naître, les yeux clos. Lui, impassible, qui l'accueillerait gentiment avec un coup de pied dans le ventre plutôt sonore.

Non. Elle ne moufta pas. Elle resta étendue là, par terre. Inconsciente.
Loin, très très loin dans le euh… Lointain (XD), elle entendit en "voix-off" (vous savez, les voix graves et artificielles… ), quelqu'un prononcer son nom..

Pensionnaire Nombre de messages : 50 Age : 30 Date d'inscription : 21/06/2007

Sadie, désespérée par l'état comateux de son amie, lui donna une gifle cinglante. Elle sentait sa jambe la tirailler douloureusement, tout ça à cause d'un pauvre type lobotomisé qui se croyait habité par Dieu et qui avait le droit de vie et de mort sur toute la population, qu'il était l'Élu, le seul, l'unique. Mais, parole de Sadie, elle le ferait souffrir. Elle torturerait Carmen, l'élue du coeur de notre Albinos détesté, si il le fallait. Mais cet enflure ne s'en sortirait pas. Elle le détruirait jusqu'à la moelle, le ferait souffrir comme jamais, et ensuite elle lui enlèverait les choses fun qu'il a entre les jambes avec un sécateur rouillé, juste pour lui faire passer l'envie de lui refaire mal, à elle ou à ses amies. Enfin, son amie, quoi.
La jeune fille espérait que Garbo reviendrait parmit eux, parce que seule elle ne pourrait la traîner à l'infirmerie. Sa blessure lui faisait mal, et sont garrot, qu'elle improvisa avec un morceau de sa chemise, ne lui était pas d'un grand secours.

"Je te jure, sale pourriture, je te recroise dans un couloir, ton foutu couteau tu vas te le prendre dans l'entre-jambe !" Grinça t-elle d'une voix haltetante.

Pensionnaire Nombre de messages : 95 Age : 33 Date d'inscription : 22/06/2007

(HJ:Enfin de retour après 600 bornes a vélos!Pour aller du Tyrol a Venise!)

Jésus-Judas sentis la seringue de la drogué juste avant de chuter!Il aurait aimée dire qu'il atterit souplement mais ce ne fut pas le cas loin de la,il s'écrassat juste par terre avec un craquement sourd et une gerbe de sang.Après quelques instants de désorientation et de rappel des derniers événements ainsi qu'un bilan de santé qui indiquat une bonne fracture de l'épaule incrustait de morceau de verre et du fin embout de la seringue,le reste n'étant que des égratinure plus ou moins profonde!Judas se relevat vacillat un peu avant d'aller vers sa planque pour récupérait sa seconde malette de secours pour désinfectait les plaies et s'occuper de son épaule et surtous se blinder pour survivre et protéger Carmen dans l'enfer des prochain jour;